Participer : contribuer, débattre…

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5 réactions sur “Participer : contribuer, débattre…

  1. je viens de finir la lecture de votre ouvrage que j’ai trouvé très intéressant pour diverses raisons.
    la première partie théorique m’a remémoré pas mal de notions sur le cours d’action.
    j’ai beaucoup aimé tout ce qui concerne l’enseignement, car cela amène des réflexions sur ma pratique, et me conforte parfois.
    Beaucoup des études et travaux mentionnés ont fait écho à ma pratique et à l’environnement du premier degré. J’ai une collègue professeur des écoles qui a suivi sa classe et fait un projet danse sur 2 ans, où les élèves présenteront un spectacle en fin d’année cette année.
    Tout le travail sur l’éducation prioritaire m’intéresse beaucoup, (même si je ne suis plus en Zep), parce ce que ce qui marche en zep, marche aussi ailleurs… Les exemples concernant les ateliers en gymnastique m’interrogent, car personnellement, je ne travaille pratiquement plus que par vague avec les petits (CP, CE1 et CE2), sur les roulades, la roue, l’ATR, et les sauts, parce que je n’arrivais pas à les faire bien travailler en atelier, (c’était moins efficace, que la vague).
    Je suis donc curieuse d’en savoir un peu plus sur les travaux mentionnés (Vors, Gal-Petitfaux).
    A Paris, les enseignants d’EPS dans le premier degré suivent leurs élèves pendant 5 ans souvent ( du CP au CM2), avec la réforme des rythmes scolaires on ne sait pas trop ce que cela va donner, mais c’est vrai que cela nous permet d’instaurer des routines de travail dès le CP, Ce1 et de construire des choses sur tout le premier degré jusqu’au CM2 ( installation etc). Il y a d’autres choses qui s’instaurent aussi entre l’enseignant et les élèves au cours de ces cinq années.
    je suis contente d’avoir lu les parties « terrain », je trouve cela intéressant et ça donne envie d’en lire plus…d’échanger, j’ai vu la biblio, aussi.

    • Merci pour te retour, c’est important pour nous de voir, ce que les collègues en pense sur le terrain.
      Je partage ta réflexion sur les ZEP considérant que ce qui marche dans ces milieux « difficiles » a de grandes chances de marcher aussi ailleurs. Selon cette entrée, les ZEP peuvent être considérées comme un miroir grossissant de l’enseignement en général.
      De plus, ton point de vue sur le travail en vague m’intéresse. Je ne suis pas un spécialiste de l’école primaire, mais cet usage peut peut-être s’expliquer par l’autonomie moins grande des élèves (surtout pour les CP, CE1, CE2)?
      Si tu es intéressée pour en savoir plus sur nos travaux avec Nathalie Gal-Petitfaux, tu peux jeter un coup d’œil à ma thèse (que je vais mettre en ligne sur ce même site). Sinon, n’hésite pas à me contacter directement olivier.vors-2@univ-lille2.fr
      cordialement
      Olivier

  2. J’ai également lu cet ouvrage dans le cadre de la préparation au concours. Etudié dans ce cadre, votre ouvrage avait pour moi une vocation à enrichir mes connaissances sur le paradigme du cours d’action dans le but premier d’obtenir, disons-le, une bonne note aux épreuves de l’agreg externe. Mais très vite, j’ai ralenti ma vitesse de lecture et j’ai essayé de reconnaître à travers chacune des illustrations proposées dans votre ouvrage mes élèves, mes collégiens, mes lycéens… Et c’est dire si je les retrouvais ! Je souriais en lisant tous les exemples ! Votre livre est vraiment très parlant pour moi, il me rassure sur mon quotidien, il enrichit ma pratique, apaise mes craintes et me redonne confiance quant à ma pratique. Vos travaux, depuis que je me suis penchée dessus, m’intéressent réellement, et pour avoir eu la chance d’assister à des conférences de Nathalie Gal-Petitfaux, à chaque fois je me dis « c’est sur les thèmes dont elle parle que je veux faire mon doctorat ». En effet, je cherche depuis quelques années maintenant un sujet de recherche pour une thèse…ce livre confirme que vos travaux pourraient très prochainement me faire entrer en contact avec vous pour un éventuel doctorat…

    Audrey

    • Merci beaucoup, Audrey pour ce message très sympa et enthousiaste ! Nous sommes vraiment convaincus que cette approche, même si elle est parfois jugée difficile d’accès, grâce au regard qu’elle permet de porter sur l’activité des élèves (et/ou des enseignants), peut permettre de concilier et de faire dialoguer des intérêts de recherche, visant à mieux comprendre les situations de classe et les expériences vécues en classe, et des intérêts pratiques, visant à créer des « espaces d’actions et d’interactions encouragées » propices aux acquisitions visées en EPS. Votre commentaire ne fait que renforcer cette conviction, et je vous encourage, si tel est votre souhait, à poursuivre votre projet de vous engager vous-mêmes dans la recherche.
      Cordialement,
      Jacques Saury

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